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Cyril Guicherd (CR4C Roanne) : “Un moment de partage autour de notre passion”

photo itv guicherd

À l’aube de la 32ème édition du Tour du Pays Roannais qui a lieu ce week-end, tous les organisateurs sont sur le qui-vive. Le responsable de la communication de la course, Cyril Guicherd revient sur la préparation de l’évènement.

Quelles sont vos attentes pour cette 32ème édition ?

Il savoir que c’est notre première organisation depuis un an et demi. On est donc naturellement très heureux de pouvoir à nouveau organiser le Tour du Pays Roannais. Cela étant, on a hâte de retrouver tout le monde à savoir les équipes, les coureurs, les bénévoles et les spectateurs pour un moment de partage autour de notre passion. On attend également beaucoup de l’ascension du Col du Béal. De par sa montée très difficile et sa vue magnifique au sommet, c’est le moment à ne pas manquer pour les spectateurs comme pour les coureurs.

Comment a été établi le parcours de cette année ?

Le parcours est établi par les bénévoles qui s’occupent du Tour du Pays Roannais. Ils travaillent en étroite collaboration avec les municipalités et collectivités afin de voir les attentes de celles-ci. Le but est ensuite de jouer avec le relief de notre région pour offrir un tracé spectaculaire. C’est d’ailleurs ce qui fait la force de cette épreuve, réputée très difficile. Beaucoup d’équipes viennent de très loin, comme de Bretagne ou de Dunkerque, pour se tester dans des étapes relevées que l’on ne retrouve pas forcément dans les autres courses.

Pourquoi 3 étapes en seulement deux jours ?

Alors, cela nous est déjà arrivé de faire deux demi-étapes la même journée, mais généralement l’une d’elles était un contre-la-montre. Cette année, on a eu beaucoup de demandes de communes étant à proximité les unes des autres. Pour contenter tout le monde, on décidé a opté pour ces 3 étapes en deux jours. Ce n’est pas le cas à chaque édition mais il nous arrive de privilégier cette solution tous les trois à quatre ans afin que personne ne se sente léser. C’est plus une contrainte de l’organisation plutôt qu’une volonté bien établie de notre part.

CRÉDIT PHOTO PHILIPPE PRADIER

 

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