Exclusivité Magazine – Florian Mure : “Plus je vieillis, plus je me sens bien”

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Le pilote roannais de motocross Florian Mure nous a accordé une interview grand format pour le prochain numéro de Parlons Sports Loire (sortie en version papier le 9 septembre). Voici un extrait.

Originaire de Saint-Alban-les-Eaux, Florian Mûre fait partie des sportifs de haut niveau du département de la Loire. C’est en motocross que le Roannais a fait ses preuves et est devenu l’un des meilleurs pilotes de la région. Dans une saison marquée par l’arrêt des compétitions suite à la pandémie du Coronavirus, le membre de l’équipe Moto 42 a repris les choses sérieuses mi-août. Nous l’avons rencontré pour parler de son parcours, ses souvenirs et ses objectifs futurs.

LA MOTO

Comment est venue la passion de la moto chez vous ?

F.M. : C’est arrivé par mon grand-père, qui a été un pilote reconnu dans la région (Paul Chantelot). Ma mère a donc trempé dedans depuis qu’elle est jeune et à ma naissance, il y avait déjà une moto garée dans le garage… Jusqu’à mes 14 ans, on m’a interdit de faire de la compétition, par peur que cela n’affecte ma croissance. Puis mes parents m’ont emmené faire ma première compétition à la Voulte. Je n’avais aucun repère, je faisais ces courses pour le fun. Après, Moto 42 m’a contacté et c’est à ce moment que j’ai franchi le pas.

Quelles sont, selon vous, les qualités à avoir pour se lancer dans la discipline ?

F.M. : Je dirais qu’il faut être très fort physiquement. Il est indispensable d’être bon un peu partout. Il faut savoir que lorsque qu’on revient d’une manche de Championnat de France par exemple, on a mal de partout. Je fais beaucoup de course, de vélo, pour m’entraîner un maximum au niveau du physique. Je suis charpentier couvreur zingueur au quotidien. Je dois me pencher sur mon corps plutôt que sur la technique pendant la semaine avant les courses. Après, il y a aussi l’aspect mental qui est primordial. J’ai suivi des cours spéciaux pour m’améliorer il y a quelques années. Pour résumer, il faut être hyper complet et ne pas avoir peur du rythme de vie soutenu qui est imposé au niveau MX1.

 

Suite et fin de l’entretien sur le numéro de septembre de Parlons Sports Loire

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