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Maurane Jelic : « Me battre même si je suis fatiguée »

Copyright : Laurent VU / TF1

Hier nous vous présentions Maurane Jelic, jeune grimpeuse stéphanoise. Aujourd’hui, elle participe à la finale de Ninja Warrior sur TF1 et sera l’unique femme sur le parcours. Avec l’émission, Maurane s’est trouvée une nouvelle motivation pour poursuivre sa voie dans le sport.

 

Pourquoi as-tu choisi l’escalade ? Qu’est-ce qui te plaît dans ce sport ?

En fait ce n’est pas trop moi qui ai choisi l’escalade. C’est plus ce sport qui m’a choisi. Après un stage aux 2Alpes, le coach m’a vu et a ensuite dit à mes parents d’essayer l’escalade. Du coup on a essayé jusqu’à ce que je participe à une Coupe de la Loire. J’ai fini 2e ou 3e, donc j’ai continué.

 

Sans le statut d’athlète de haut niveau, tu as possibilité de t’entraîner en ce moment ?

Je ne peux plus du tout m’entraîner en escalade. Toutes les salles sont fermées à Saint-Etienne car il n’y a pas assez de demandes. En ce moment, je m’entraîne au Warrior Adventure de Lyon pour garder la forme et le niveau. Mon statut de STAPS me permet d’accéder à cette salle.

 

En tant que finaliste de Ninja Warrior, qu’est-ce que ton parcours t’a appris ?

Je venais d’arrêter les compétitions, donc j’avais un peu perdu cet esprit. L’émission m’a permis de le retrouver. J’ai dû faire face aux candidats et rechercher le mental qui me manquait. Je devais me battre même si j’étais fatiguée. J’avais l’habitude de l’escalade qui demande un effort intense mais moins long. Le Ninja est plus motivant car plus intense sur la durée.

 

As-tu des ambitions sportives pour les prochaines années ?

Je ne vise plus les compétitions en escalade. Suite à l’émission, je me suis mise au Parcours Ninja. Le principal objectif que je me fixe serait le Championnat du Monde de Ninja. Ce sport, comme dans l’émission, mélange du Parkour, de l’escalade et de la gym.

 

Crédit photo : Laurent VU / TF1

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