Robert Pires, dernier champion de 98 en activité, met un terme à sa carrière

Clap de fin pour les 98', Robert Pires met un terme à sa carrière.

C’est sur BeIN Sport qu’il a officialisé, à 42 ans, sa fin de carrière.  Cela faisait un an que Robert Pires n’avait pas joué un match officiel après sa dernière expérience en Inde.

Clap de fin pour les 98', Robert Pires met un terme à sa carrière.
Clap de fin pour les 98′, Robert Pires met un terme à sa carrière.

Ancien joueur de Metz, Marseille mais aussi Arsenal, Robert Pires s’était ainsi exprimé à l’automne 2014 : « J’ai 42 ans ; à un moment donné il faut arrêter, il faut dire stop et puis surtout il faut laisser la place aux jeunes. Ma dernière expérience, c’était en Inde ». Le milieu offensif était le dernier “survivant” de 1998. Avant lui, les vingt-deux champions du monde 1998 avaient tous mis un terme à leur carrière. Jeudi, C’est Robert Pires qui a officiellement raccroché les crampons après un an d’inactivité.

Après une formation au Stade de Reims, Robert Pires s’en va au FC Metz. Au compteur, 198 matches entre 1993 et 1998. Du côté du palmares, il affiche une Coupe de la Ligue (1996) et un titre de vice-champion de France (1998).

Suite à cela, il remporte avec les Bleus la Coupe du monde 1998 avant de porter le maillot de l’OM pendant deux saisons. L’histoire se répète et il termine une nouvelle fois dauphin de D1 mais il s’offre une finale de Coupe de l’UEFA, perdue face à Parme (3-0).

Robert Pires se dirige alors en Angleterre et c’est à Arsenal, qu’il rejoint juste après un Euro 2000 victorieux (où il offre notamment le but en or à David Trezeguet), que Pires explose. Il devient rapidement un élément majeur des Gunners pendant 6 saisons. À Londres, il remporte deux fois la Premier League (2002, 2004)et s’offre deux Cups (2003, 2005). Il atteint également la finale de la Ligue des champions en 2006. Cette finale au Stade de France, perdue face au Barça (2-1), ne fut pas celle qu’il attendait puisqu’il ne la jouera que dix-huit minutes.  L’expulsion de Jens Lehmann a amené Arsène Wenger à sortir son fameux numéro 7.

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