Maxime Boire (Chorale de Roanne) : “Je suis là pour le club”

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Après avoir débuté la saison en tant qu’assistant de Laurent Pluvy, Maxime Boire est désormais le coach principal de la Chorale de Roanne pour le restant de l’année en Jeep Elite. Il nous a accordé un entretien pour Parlons Sports Magazine en revenant notamment sur sa prise de poste tout en évoquant l’avenir.

  • Vous êtes désormais sur le devant de la scène après le départ de Laurent Pluvy, comment avez-vous vécu cette période ?

M.B. : “Je n’imaginais pas du tout ça, nous venions de monter et il n’y avait aucun signal qui n’envisageait ce scénario.”

  • Était-ce dans votre plan de carrière d’être un jour numéro un ?

M.B. : “Quand j’étais joueur, au début de ma carrière, je n’avais aucune volonté de devenir entraîneur après. Puis, après une blessure, cela a commencé à m’intéresser. Je suis arrivé à Roanne en tant qu’adjoint. Cela m’intéressait pour deux choses : goûter au métier et me rapprocher de ma famille.”

  • Comment vous êtes-vous adapté à la situation ?

M.B. : “Nous n’avons pas eu le temps de réfléchir. C’est comme ça, nous nous sommes mis au travail. Il faut se mettre tout de suite en action. C’est ce qu’on a fait avec Jordan Bernard. On a mis les mains dans le cambouis. On a essayé des choses.”

  • Avez-vous été rassuré d’être confirmé jusqu’à la fin de la saison ?

M.B. : “Le but du jeu, c’était dans un premier temps de faire les trois matchs en intérimaire pour voir comment les joueurs allaient réagir. Dans ma tête c’était réellement ça. On voulait voir ce que ça donnait. Le club avait besoin de cela. Après, peu importe ce qui arrive je suis là pour le club.”

  • Il y a eu une grosse réaction des joueurs à ce moment là…

M.B. : “Tout de suite après ce qui s’est passé avec Laurent, c’était prévisible. On recevait l’ASVEL, on allait à Paris, de grosses écuries du championnat. Automatiquement, il y aurait une réaction des joueurs, peu importe le coach. C’est normal et ça se passe de partout pareil. Les joueurs sont toujours sur le qui-vive derrière, c’est logique.”

 

Crédit photo : Jules Roche

Découvrez la suite et fin de l’entretien vendredi sur parlonssports.fr

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